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1 ère partie :
présentation
Rome historique
Rome d'aujourd'hui
l'album photos

2ème partie : le journal
1er jour (l'album)
2ème jour (l'album)
3ème jour (l'album)
4ème jour (l'album)
5ème jour (l'album)
6ème jour (l'album)
7ème jour (l'album)
8ème jour (l'album)







1er jour (9 mai)

Une heure d’autoroute depuis la maison, puis 1h ¼ de vol et nous sommes à Rome Ciampino à 10h ½; et de là nous mettrons 2 bonnes heures pour faire la dizaine de kilomètres et rejoindre la Gare de Termini située prés de notre hôtel.
    La première impression, sous la pluie qui plus est, est celle d’un vaste fourbi : des voitures partout, des bus dans tous les sens, rien de marqué ou délimité.
    J’avais retenu les places de bus (Terravision) par Internet – à 8 € chacun – sur place je crois qu’ils ne coûtent que 6. On nous fait changer d’emplacement, peut être pour que nous soyons à l’abri.
    Scotchés dans les bouchons et bénéficiant de tous les feux rouges, nous arriverons enfin à la gare routière de Termini qui jouxte la ferroviaire.
    La foule est dense et bigarrée, le plan bien quadrillé par la gare et l’église Santa Maria Maggiore, et nous trouvons facilement notre hôtel Giubileo au 15 de la Via Carlo Alberto.
   
Accueil à l’hôtel par un réceptionniste de type indien parlant très bien français : mauricien ayant travaillé au Club Med, il s’est installé à Rome qu’il adore.
Nous partons manger à une adresse du Routard prés de la gare: Da Luciano, pas cher et bon.
   


Après midi, visite de San Pietro in Vincoli :  célèbre Moïse de Michel Ange

Puis nous retournons à Santa Maria Maggiore fondée en 356 et remaniée ou complétée plusieurs fois jusqu’en 1743, c’est, de toutes les grandes basiliques de Rome, celle qui présente l’union la plus réussie entre architectures d’époques différentes.


C’est la première église que nous visitons : nous restons bouche bée devant une telle taille, une telle richesse de décoration, un tel luxe. 
 Impressionnante par son plafond, ses dorures et ses chapelles latérales. Son Campanile roman est le plus haut de Rome (75 m) 
Les colonnes ioniques du Véme, un pavement de marbre cosmatèque (marbre blanc orné d’incrustations de porphyre vert ou rouge) :

tout ça s’harmonise parfaitement  .

Nous partons dîner à deux pas, chez  Santi, rue Manin, simple et bon marché, nous en ferons un peu notre cantine.
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